En 1997, commence, à Saint-Urbain, une grande aventure avec l’arrivée d’une quarantaine d’émeus. Ainsi, les bâtiments érigés par les aïeuls, abritent, des migrantes dont le cri rauque et bref résonne dans les étables et les enclos. Depuis, les petits font partie intégrante du cheptel québécois.
À cette époque, je croyais au regroupement des producteurs d’émeus spécialisés dans un domaine ou l’autre. La conjoncture a fait que le CEC est devenu une entreprise agricole intégrant toutes les sphères requises par un élevage d’émeu allant de l’incubation à l’éclosion, du poussin au reproducteur ou à l’émeu d’engraissement.
En 2006, Damien Tremblay, assisté de Charles Comte, construisent, avec l’aide d’une petite équipe dynamique et d’un professionnel du MAPAQ, l’étable d’engraissement pour abriter les émeus en période hivernale et assurer ainsi leur confort en remplaçant les serres existantes.